Découvrez dans cet article le profil de Zoé, Responsable Communication chez Texeï depuis 3 ans !
Peux-tu te présenter brièvement ?
Je m’appelle Zoé, j’ai 23 ans et je suis Responsable de Communication chez Texeï depuis 35 jours. Je suis passionnée par tout ce qui se mange, plus particulièrement la cuisine asiatique.
Quel est ton parcours ?
J’ai d’abord fait un DUT communication des organisations à Tours, ensuite je suis partie faire un échange universitaire à Séoul en Corée du Sud. Après, je suis rentrée sur Paris faire un master en Management de la marque et Communication à la Sorbonne Business School en alternance dans une agence de com digitale.
Pourquoi avoir choisi Texeï ?
Ce qui m’a séduit chez Texeï c’est tant la curiosité de découvrir l’univers Salesforce que la diversité des objectifs du poste et l’entreprise en elle-même. J’ai senti que ça matchait et qu’on partageait la même valeur principale : la bienveillance.
Qu’est-ce qui te passionne dans ton métier ?
Le fait d’être tous les jours confrontée à différentes problématiques : jongler entre stratégie et opérationnel, pour moi, c’est jouer entre deux intelligences, une qui se doit d’être dans l’immédiat, et l’autre qui doit être plus poussée, construite en visualisant sur le long terme. J’aime l’idée de construction d’une cohérence aussi, et de suivre ce fil rouge à travers toutes les communications.
Ton talent caché
Je n’ai pas beaucoup de talents « pratiques » mais je sais faire des fondants au chocolat. Je suis assez calée en tueurs en série et en curry.
Résume ton métier de façon improbable
Alors, je parle pour faire parler. Je suis un peu la main cachée dans la marionnette, et je veux qu’il y ait beaucoup de personnes qui viennent au spectacle, qui en parle, qui achète leurs places …
Le meilleur moment de ta journée :
L’apéro. C’est mon côté sud-ouest qui ressort un peu… Le moment où tu enlèves tes chaussures à talons aussi et le moment où il y a une odeur de pain grillé partout dans l’appartement.
Ton petit conseil confinement
Arrêter de se mettre la pression avec des to do list à rallonge d’occupations : ce n’est pas un battle du confinement le plus stylé. Ce n’est pas grave de ne rien faire, c’est bien aussi de se reposer.
Le mot de la fin ?
« Ce n’est qu’un début. »
Co-auteur Zoé Cadiou
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